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Vitaros® : une alternative au Viagra® en vente dès lundi

Vitaros® : une alternative au  Viagra® en vente dès lundi

Publié le 28 mai 2015 à 17:56

Dès lundi 1er juin, on pourra trouver dans toutes les pharmacies, une crème alternative au Viagra® pour traiter les troubles de l’érection.

Une action similaire au Viagra® sous forme de crème

Annoncée depuis 1 an, la crème Vitaros® du laboratoire Majorelle, arrivera dans toutes les pharmacies à partir du lundi 1er juin.

Cette crème se présente comme une alternative aux comprimés Viagra® (sildénafil). Elle contient de l’alprostatil qui dilate les vaisseaux péniens, luttant ainsi contre les troubles de l’érection.

Elle sera délivrée uniquement sur ordonnance et sera indiquée pour « les hommes à partir de 18 ans, dans le traitement de la dysfonction érectile définie par l'incapacité à atteindre ou maintenir une érection suffisante du pénis pour permettre une performance sexuelle satisfaisante. »

L’utilisation de cette crème est très simple : une goutte de produit doit être déposée au-dessus de l'ouverture (le méat) à l'extrémité du pénis tenu à la verticale.

L'effet apparaît dans les 5 à 30 minutes suivant l’application et la durée d’action, d'environ 1 à 2 heures, peut être variable d'un patient à l'autre.

Comme pour le Viagra®, il existe certaines contre-indications

Du fait de son principe actif, la crème Vitaros ® présente certaines contre-indications : hommes ayant souffert d'un infarctus du myocarde, ou souffrant d'une hypotension orthostatique (baisse de la tension artérielle lors du passage de la position couchée à debout) ainsi que ceux qui présentent un risque de thrombose (caillot) veineuse.

Vitaros® ne sera pas remboursée pour le moment. L’unidose de crème sera vendue à un peu moins de 10 €. Chaque boîte contiendra 4 unidoses.

Toutefois, une demande de remboursement partiel a été demandée par le laboratoire auprès des autorités de santé pour des patients souffrant de certaines pathologies particulières : paraplégie et tétraplégie (quelle qu'en soit l'origine), traumatisme du bassin compliqué de troubles urinaires, séquelles de chirurgie (anévrisme de l'aorte, chirurgie de la prostate et colorectale) ou de radiothérapie abdominopelvienne, séquelles du priapisme, neuropathie diabétique ou encore sclérose en plaques.

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