Nouvelles conditions de prescription des pilules de 3ème et de 4ème générations

L’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) vient d’annoncer les nouvelles conditions de prescription des pilules de 3ème et de 4ème générations : « Les médecins ne pourront plus prescrire de pilules de 3ème et de 4ème générations sans une preuve écrite et signée qu’ils ont bien vérifié l’absence de facteurs de risque et que la patiente a été correctement informée des risques associés ».

Des tests biologiques non remboursés pourraient accompagner ce nouveau mode de prescription, entraînant un coût supplémentaire que certaines patientes qui ont peu de moyens auront du mal à assumer.

Le syndicat s’insurge fortement face à cette nouvelle décision prise par l’agence du médicament, estimant que cela pourrait conduire demain les médecins à demander aux patients de signer des formulaires de consentement éclairé pour chaque prescription !

L’affaire n’est sans doute pas terminée !!!