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Près de 25% des Français ont déjà prétexté une fausse excuse pour éviter un rapport sexuel

Publié le 09 septembre 2010 à 12:00

(Relaxnews) - Près d'un quart des Français (24%) a déjà imaginé une fausse excuse pour éviter ou retarder un rapport sexuel, selon une étude menée par l'Ifop pour l'Institut Lilly publiée jeudi 9 septembre. Les résultats de cette enquête révèlent que les femmes sont plus nombreuses à mentir que leurs homologues masculins pour esquiver une relation sexuelle puisqu'elles sont 33% à affirmer pratiquer cette stratégie, contre seulement 15% des hommes.

(Relaxnews) - Près d'un quart des Français (24%) a déjà imaginé une fausse excuse pour éviter ou retarder un rapport sexuel, selon une étude menée par l'Ifop pour l'Institut Lilly publiée jeudi 9 septembre. Les résultats de cette enquête révèlent que les femmes sont plus nombreuses à mentir que leurs homologues masculins pour esquiver une relation sexuelle puisqu'elles sont 33% à affirmer pratiquer cette stratégie, contre seulement 15% des hommes.

Le sondage rapporte également que la fatigue apparaît comme l'excuse la plus fréquente pour éviter une relation sexuelle (45% des personnes ayant déjà menti à ce sujet). Suivent la proximité des enfants (35%), les préoccupations financières et professionnelles (33%), le mal de tête (28%), ou encore l'excès d'alcool (25%).

Autre enseignement de l'étude, près d'une personne interrogée sur deux (49%) déclare avoir déjà rencontré un problème sexuel associé à un manque de désir au sein du couple. Les Français sont également confrontés à des problèmes d'éjaculation précoce (31%) ou des troubles de l'érection (29%).

A ce titre, la majorité des personnes interrogées (57%) estiment que le stress et certaines préoccupations du quotidien peuvent être responsables des problèmes d'érection ou du manque de désir dans un couple. En outre, 50% des Français ayant déjà été confrontés à un problème d'éjaculation précoce approuvent cette idée.

La plupart des Français pensent que la communication "directe'" peut permettre d'arranger certains problèmes d'ordre sexuel. Ainsi, 64% des personnes interrogées l'envisagent pour remédier aux troubles sexuels survenus dans leur couple. Néanmoins, plus d'un quart du panel (26%) privilégient l'intervention d'un médecin, alors que 18% affirment qu'il n'y a aucun moyen de régler ce type de troubles.

Dernier constat de l'étude, plus des trois quarts des Français (76%) considèrent que les "pannes sexuelles" peuvent avoir des conséquences sur leur vie amoureuse. Parmi eux, 36% estiment qu'elles peuvent avoir un impact sur l'harmonie et l'entente du couple. Toutefois, 24% des personnes interrogées affirment tout de même que ces troubles sexuels n'ont aucune conséquence sur leur vie de couple.

L'étude a été menée par questionnaire auto-administré en ligne, du 16 au 18 juin 2010, auprès de 1.035 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

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