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Un conducteur sur dix s’endort au volant

Un conducteur sur dix s’endort au volant

Publié le 27 mars 2014 à 10:04

A la veille de la Journée Nationale du Sommeil, il bon de rappeler les dangers des nuits trop courtes : un conducteur sur dix s’est déjà endormi au volant en se rendant ou en revenant de son travail !

Une somnolence particulièrement marquée chez les 18 – 24 ans

Des chiffres qui font frémir ! 10 % des conducteurs avouent s’être déjà endormis sur le trajet qu’ils empruntent quotidiennement pour se rendre sur leur lieu de travail. Tels sont les résultats d’une enquête menée conjointement par l’InSV (Institut national du sommeil et de la vigilance) et la MGEN.

Fort heureusement, l’enquête révèle que les victimes de somnolence ouvrent souvent les yeux à temps pour éviter l’accident !

L’analyse montre que les jeunes de 18-24 ans sont particulièrement touchés par ces problèmes de somnolence diurne.

Il apparaît que 62% des personnes actives dorment, en moyenne, entre 7 et 8 heures par nuit, mais que 36% des actifs souffrent d’un vrai manque de sommeil avec des nuits de moins de 6h (repos bien insuffisant pour éviter des troubles de santé).

Sieste ou grasse matinée : la récupération est obligatoire

Si le manque de sommeil est trop récurrent, l’organisme est incapable de suivre et finit par craquer, le plus souvent tragiquement : infarctus, AVC

Il est absolument indispensable de s’octroyer des phases de récupérations

  • Soit par des micro-siestes appelées siestes flashs : en fermant les yeux quelques minutes dans un fauteuil.
  • Soit par des siestes standards, d’une quinzaine de minutes, idéales pour terminer la journée en pleine forme.
  • Soit par la grasse matinée, le week-end : un bon moyen de compenser le manque de sommeil de la semaine.

A éviter !

  • Des siestes trop longues, de plus de 20 minutes, qui risquent de vous rendre vaseux pour le reste de la journée.
  • Les boissons ou aliments excitants : le café, le thé ou encore la cigarette semblent permettre de rester éveiller : cela fonctionne sur le court terme, mais cela risque aussi d’être délétère pour l’organisme sur des durées plus longues.

 

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