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L’homme devient-il de plus en plus bête ?

Publié le 12 mars 2013 à 03:00

Voilà de quoi contredire les théories évolutionnistes : le QI de l’être humain serait en train de baisser !

Les études réalisées sur les fossiles d’hominidés montrent que, au cours de l’évolution, le volume de la boîte crânienne (donc celui du cerveau) n’a cessé d’augmenter : l’Australopithèque (350 cm3), l’Homo habilis (600 cm3), l’Homo erectus (800 cm3) et l’Homo sapiens (1500 cm3). Il n’y a qu’un pas pour dire que les capacités cognitives (donc l’intelligence de l’être humain) ont suivi la même courbe !

Gerald Crabtree, généticien de l’université de Stanford n’est pas d’accord avec cette hypothèse : le niveau intellectuel de l’Homme aurait tendance à diminuer au fil des siècles, notamment depuis que l’Homme s’est sédentarisé : en effet, en développant l’agriculture et en abandonnant peu à peu les comportements de chasse et de fuite, l’Homme utilise moins ses capacités créatives et cognitives.

Pour le Professeur Crabtree, il aura suffi de 120 générations pour que des mutations génétiques aboutissent à la perte de quelques neurones ! Heureusement, ce changement n’apparaît que depuis quelques millénaires, ce qui ne remet donc pas en cause les thèses des paléontologues dont les travaux concernent une échelle de temps bien plus grande… Les théories évolutionnistes restent donc valables… ouf !

 

D’autres chercheurs ont trouvé des explications environnementales à cette baisse du QI moyen.

 Ainsi, des chercheurs de l’Université d’Harvard ont découvert qu’une substance présente dans l’eau, le fluorure, pouvait faire baisser le QI. "Nos résultats ont démontré la possibilité qu’une exposition au fluorure soit néfaste au neurodéveloppement des enfants. Nous avons trouvé une relation significative entre le niveau de fluorure dans l’eau et le QI des enfants."

 

Les pesticides pourraient, eux aussi, être responsables de la baisse de QI. Des chercheurs de l'Université de Montréal et de l'Université de Californie à Berkeley ont mis en évidence une association entre une exposition prénatale aux pesticides et un QI inférieur chez les enfants âgés de 7 ans.

Enfin, selon des études britanniques, une trop haute consommation de fructose serait responsable d’une diminution du quotient intellectuel et d’un endommagement des fonctions cérébrales.

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